Les effets secondaires multiples des vaccins ont-ils eu un effet sur les pilotes et sur la sécurité aérienne ?
D’après le rapport annuel de sécurité 2021 de l’EASA, 25% des accidents et incidents sérieux intervenant sur les avions commerciaux sont liés aux « facteurs humains ».
C’est pourquoi la santé des personnels navigants est si surveillée. La prise d’alcool, de drogues ou de médicaments susceptibles d’altérer leurs aptitudes avant un vol sont depuis longtemps interdits. Concernant les « vaccins » COVID, notre compréhension de la balance bénéfice-risque de ces nouvelles substances évolue.
On sait désormais que ce « vaccin » n’empêche pas la transmission. EASA avait recommandé en mars 20212 l’instauration d’un délai de 48h entre l’injection du navigant et sa prise de fonction, voire 72h pour les pilotes en solitaire. Après 10 992 décès et 1,4 million d’effets secondaires après une « vaccination » COVID rapportés au 14 juillet 2022 par l’EMA, EASA devrait analyser si cette injection est plus risquée que la maladie pour le personnel navigant et si elle a posé un risque au regard de la sécurité aérienne.
1 – L’EASA a-t-elle identifié ou évalué un signal d’alerte pour la sécurité aérienne lié à la « vaccination » COVID ?
2 – Combien d’incapacités en vol de pilote et de détournement d’avion pour raisons médicales affectant soit les passagers, soit les membres d’équipages ont eu lieu chaque année en Europe depuis 2017 ?